Coupe Colonel, c’est du funk, de
la musique afro-caribéenne, un son garage et des
textes en français.
Imaginez un Michel Houellebecq sous MDMA faisant du zouk
avec les Clash dans un club à Kinshasa. Pour situer
vaguement...
Pour le reste, c’est sur scène que ça
se passe. Coupe Colonel fait danser les filles et les
garçons à coups de groove funky moite et
de solos de guitares sexy. Un peu comme si il allait mourir
demain. Mais sachez le dès à présent,
Coupe Colonel ne meurt jamais.